Le député libéral Marwan Tabbara, maintenant accusé d’agression et de harcèlement criminel, avait été permis de se représenter en 2019 par le Parti Libéral du Canada, alors que le Parti savait que Tabbara était sous enquête pour harcèlement sexuel, selon CBC.
Malgré la politique « zéro tolérance » de Justin Trudeau en matière de harcèlement sexuel, Tabbara a été autorisé à se représenter alors que le Parti Libéral était entièrement au courant des allégations.
Cette négligence démontre à nouveau l’hypocrisie du gouvernement libéral sous Justin Trudeau, bon pour les grands discours mais dont les actions démontrent autrement.
Toujours selon CBC, « des allégations de comportement inapproprié impliquant Tabbara et une employée ont été signalées au Parti libéral à plusieurs reprises au cours des cinq dernières années, selon une source. Les hauts responsables du gouvernement Trudeau et du Parti libéral étaient au courant des revendications. L’une des personnes qui était au courant des allégations travaille maintenant au bureau du Premier ministre. »
« Mais le parti n’a pris au sérieux la faute présumée que récemment, a indiqué la source. »