Jérémie Perron, un homme de Jonquière, aurait séquestré et violé la fillette d’un couple d’amis, en tentant de se faire passer pour quelqu’un d’autre. Maintenant, cet homme a fait une transition et se fait appeler Jennifer. Ce personnage fait peur à toute une communauté, qui est bien impuissante devant les lois canadiennes en matière de vie privée. Ce pourquoi un futur gouvernement conservateur doit limiter les transitions de genre pour les violeurs condamnés.
Cet homme de Jonquière a agressé sexuellement une adolescente, qui vit depuis avec un traumatisme. Il s’est mis une cagoule sur la tête et aurait pris un accent anglophone pour forcer la jeune fille à lui faire une fellation, alors que celle-ci était chez elle, dans sa chambre. Le plus choquant dans cette histoire, c’est que Jérémie Perron aurait gardé contact avec le couple de parents et n’a été identifié que plusieurs mois plus tard comme étant l’agresseur, étant trahi par son ADN.
Or, même s’il fut condamné à 10 ans de prison, celui-ci est sorti avec une libération conditionnelle. L’adolescente aurait appris par hasard que Jérémie Perron a fait une transition de genre, se faisant appeler Jennifer. Les proches de la victime sont impuissants face à ce sombre individu, qui a pu revenir dans le quartier en toute discrétion, protégé par la loi canadienne.
En effet, rien n’oblige les autorités à déclarer la transition de genre d’un détenu, ni sa nouvelle identité. Les gens de Jonquière sont inquiets, car un agresseur vit à proximité, sous une nouvelle identité. Et que monsieur Perron n’a jamais dit ressentir de remords pour son crime. Et a pu être libre plusieurs fois sans se faire arrêter grâce aux analyses ADN.
Le futur gouvernement canadien – qui sera, selon toute vraisemblance, conservateur – doit limiter la transition de genre pour les violeurs condamnés. Il devrait également rendre obligatoire la déclaration de tout changement d’identité aux familles des victimes ainsi qu’aux communautés concernées par ces individus. Il n’est pas normal que des criminels bénéficient d’une telle impunité.
La transition de genre n’a pas besoin d’être faite avec sincérité. La loi canadienne n’impose aucune vérification à ce niveau. Une simple déclaration peut parfois suffire pour faire reconnaître une nouvelle « identité de genre ». Pourtant, de plus en plus de voix s’élèvent contre cette faille de la Charte des droits et libertés. En effet, depuis les changements apportés par les libéraux en 2017, le gouvernement ne peut imposer de restrictions basées sur « l’identité ou l’expression de genre ».
Un éventuel gouvernement Poilievre doit restaurer la confiance du public dans le système judiciaire. Sans cela, de plus en plus de citoyens risquent de se tourner vers des formes de justice personnelle. Avec l’essor rapide des réseaux sociaux, la situation pourrait rapidement devenir incontrôlable. Le Canada dispose déjà d’un système judiciaire permettant la réhabilitation, mais des mesures plus strictes à l’encontre des délinquants sexuels sont réclamées de façon légitime par la population.
Il est inacceptable que des individus condamnés pour des crimes sexuels aussi graves soient ainsi protégés. La loi doit être modifiée pour protéger la population contre d’éventuels risques de récidive. Cela pourrait commencer par une restriction des transitions de genre pour les violeurs condamnés, ainsi que par la diffusion de leur nouvelle identité aux communautés concernées. Pierre Poilievre doit être l’homme de la situation pour contrer les excès du wokisme qui mettent des vies en danger.