Traduit de l’anglais. Article de Scott Strasser publié le 25 janvier 2025 sur le site du Calgary Herald.
Le groupe de travail, dirigé par des « dissidents » et mis en place par la première ministre Danielle Smith pour examiner la réponse de l’Alberta à la pandémie de COVID-19, a publié son rapport final.
Le rapport de 268 pages, mis en ligne vendredi après-midi, recommande « l’arrêt de l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 sans divulgation complète de leurs risques potentiels » et demande à la province de permettre aux médecins de prescrire des traitements alternatifs contre le virus, tels que l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Il encourage également la province à cesser l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 chez les enfants et adolescents en bonne santé, à effectuer des recherches supplémentaires sur l’efficacité des vaccins, à mettre en place un soutien pour les personnes « affectées par les vaccins » et à offrir un mécanisme pour se désengager des politiques de santé publique fédérales.
« Les vaccins contre la COVID-19 n’ont pas été conçus pour stopper la transmission du virus et il existe peu de données sur leur efficacité à prévenir les maladies graves chez les enfants », affirme le rapport.
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« Le gouvernement de l’Alberta s’engage à prioriser la santé et le bien-être des Albertains grâce à des décisions responsables et fondées sur des preuves », a déclaré Jessi Rampton, secrétaire de presse de LaGrange.
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En plus de demander la fin des vaccins contre la COVID-19, le rapport vante les avantages de l’immunité collective, ou l’idée qu’une infection antérieure par le SARS-CoV-2 peut offrir des réponses immunitaires durables et protectrices.
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