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Une activiste « anti-haine » contrainte de s’excuser auprès de Rebel News pour de fausses allégations

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Une directrice adjointe du Canadian Anti-Hate Network (CAHN) a présenté des excuses publiques pour avoir faussement prétendu que Rebel News avait incité la fusillade de mars 2019 à Christchurch.

Selon les rapports, Elizabeth Simons, du CAHN, a supprimé un tweet alléguant que le média indépendant était une source d’inspiration pour la fusillade, puis a publié une correction et des excuses pour avoir fait cette affirmation.

« J’ai supprimé un tweet qui suggérait que le terroriste de Christchurch avait été incité par Rebel News à commettre des violences. Je n’avais pas de preuves pour soutenir cela et je présente mes excuses à Rebel News », a écrit Simons sur Twitter.

Le compte de Simon n’a été créé qu’en avril 2021, le même mois où les excuses ont été présentées. La possibilité de répondre au tweet est également désactivée.

« Elle nous a faussement accusés de terrorisme. Il lui a fallu des mois pour avouer qu’elle avait tout inventé », a tweeté le ‘commandant’ de Rebel News Ezra Levant.

« C’est une menteuse. Ses excuses ne valent rien. »

Récemment, le CAHN a reçu plus d’un quart de million de dollars du gouvernement Trudeau dans le cadre de son programme d’action contre le racisme.

« Ce projet augmentera la capacité de l’organisme à contrer la haine en ligne en embauchant quatre membres de l’équipe pour effectuer la surveillance des groupes d’extrême droite, faire des rapports sur leurs activités et déposer des plaintes auprès des forces de l’ordre ; il éduquera le public quant à ces groupes et aux dommages qu’ils créent, et partagera l’information par le biais de ses adeptes sur Facebook et Twitter », a écrit la description de la subvention du CAHN.

Le CAHN a été accusé par les critiques d’entretenir l’idée que le Canada est un foyer de haine et d’extrémisme de droite.

Selon une lettre présentée par le groupe à un comité de la Chambre des communes, l’organisation se décrit comme étant « modelée sur, et soutenue par, l’estimé Southern Poverty Law Center (SPLC) aux États-Unis ».

Récemment, le SPLC, tombé en disgrâce, a dû faire face à un certain nombre de scandales. Il a notamment été contraint à un règlement de 3,3 millions de dollars après avoir faussement qualifié l’activiste Maajid Nawaz et son organisation d' »extrémistes anti-musulmans ».

Le CAHN a également affirmé par le passé qu’il existait environ 300 groupes haineux au Canada, sans être en mesure de fournir l’exemple d’un seul d’entre eux. Les affirmations erronées du CAHN ont été propagées par le chef du NPD, Jagmeet Singh, et plusieurs autres élus.

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