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Drag queens dès la maternelle dans une école de Beauport

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Alors que beaucoup de gens au Québec affirment que les lectures de contes par des drag queens à des enfants ne se font que dans des bibliothèques et relèvent du choix des parents, de nouvelles révélations démontrent que des capsules de Barbada de Barbade seraient diffusées sans le consentement des parents dès la maternelle, à des enfants de 5 ans, et les pousseraient à se questionner sur leur identité de genre.

En effet, lorsque sa fille de cinq ans est revenue de l’école primaire aux Quatre-Vents à Beauport en janvier dernier, Charles Gaudreault a été surpris de l’entendre poser des questions sur les identités de genre et les « madames qui ont de grosses voix ». Sa fillette de 5 ans, qui est toujours à la maternelle, aurait notamment affirmé qu’un des amis chauve de son père pourrait porter des perruques comme les drag queen, entre autres réflexions sur la féminité et la masculinité. Une situation qui a profondément choqué le père de famille.

Réalisant qu’on diffusait depuis plusieurs mois des capsules vidéos de Barbara de Barbade dans les cours de musique de son enfant, M. Gaudreault a entrepris d’écouter toutes ces capsules pour se faire une idée. Ce qu’il a trouvé l’a choqué :

« Ils disent tous que ce n’est qu’une manière d’ouvrir les jeunes à la différence et à l’inclusion, alors que c’est clairement une manière d’introduire des idéologies woke aux plus jeunes enfants et les initier à la théorie du genre », affirmait ainsi M. Gaudreault, rejoint par Québec Nouvelles ce vendredi. « On les pousse à se questionner sur leur genre », ajoute-t-il.

Ces capsule de la populaire drag queen sont tirées de l’émission pour enfants Barbada, diffusée sur les ondes de Radio-Canada, qui viserait à faire découvrir la musique aux enfants en invitant des musiciens de la scène québécoise. Bien que l’axe principal soit musical, l’esthétique LGBTQ de l’émission et la personnalité même de Barbada, cette « femme avec une grosse voix » qui, en dehors de cette émission, « lit des contes woke d’Élise Gravel à de jeunes enfants », l’emporterait et pousserait les jeunes à questionner leur identité de genre.

Face à cette situation, M. Gaudreault a entrepris de contacter le directeur de l’école ainsi que tous les parents de la classe en question par courriel, puisqu’il disposait d’une liste de contacts provenant d’un autre courriel que l’école avait envoyé à l’intention des parents. Dans son message, le père de famille informe d’abord les autres parents de la situation et fait un exposé de cette mode des drag queens auprès des enfants, qui provient des États-Unis, et démontre de nombreux dérapages. Il argumente ainsi qu’il est immoral d’exposer les plus jeunes à ce genre d’idéologie, et que ça dépasse largement le mandat pédagogique de l’établissement.

À ce courriel, un seul parent était choqué d’avoir été contacté et a instantanément insulté M. Gaudreault, le traitant de « conservateur arriéré » et affirmant, à grand renfort de sacres, qu’il devrait garder son indignation pour lui.

Devant le mutisme de la direction, Charles Gaudreault a continué à lui écrire en demandant très clairement si l’institution jugeait approprié de présenter du contenu impliquant des drag queens à de si jeunes enfants, ce à quoi le directeur, David-Étienne Bélanger, a finalement répliqué qu’il faisait confiance en l’autonomie pédagogique de son enseignante.

« Nous comprenons les préoccupations en lien avec les valeurs que le papa exprime dans son message. Cependant, l’intention pédagogique de l’enseignante est la découverte musicale et non la promotion de la diversité des genres. » affirmait ainsi M. Bélanger.

Cela dit, si l’intention n’était pas la promotion de la diversité des genres, c’est tout de même ce qui a été retenu par la fillette lorsqu’elle est revenue à la maison. M. Gaudreault n’est donc pas convaincu du tout par cette réponse. « Il utilisait pas mal la langue de bois », selon celui qui se serait alors fait réprimander d’avoir contacté les autres parents plutôt que de commencer par l’enseignante ou la direction. »

En guise de compromis, la direction de l’École aux Quatre-Vents a proposé à Charles Gaudreault de faire sortir sa fille de la classe de musique pendant l’écoute des capsules. Une solution inacceptable, selon lui, qui ne fait que punir sa fille au lieu de véritablement trancher la question.

C’est devant ce manque de compréhension et de collaboration que M. Gaudreault a choisi de se tourner vers les médias, en début de semaine, et a notamment participé à un direct avec Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec, qui est le seul parti actuellement à questionner l’intrusion des drag queens dans l’éducation des jeunes enfants (l’Assemblée nationale a récemment défendu à l’unanimité les drag queens).

Selon M. Gaudreault, le chef du Parti conservateur l’aurait informé qu’il était loin d’être le seul parent à sonner cette alarme, et que le parti recevrait de nombreuses plainte de la sorte de la part de parents voulant préserver l’anonymat. C’est donc dire que la chose est plus répandue qu’on ne le pense au Québec.

Dans tous les cas, il s’agit là d’une preuve que les drag queens ne sont pas seulement dans les bibliothèques publiques, mais sont déjà présentes dans les cursus scolaires dès le plus jeune âge. Il s’agit aussi d’une preuve que malgré un discours officiel qui dit qu’il ne s’agit pas d’enseigner la diversité des genres, c’en est tout de même, de manière insidieuse, le résultat, et des jeunes de 5 ans reviennent à leur maison le soir au Québec pour parler avec leur parents de la signification de la féminité, de la masculinité… Et des « femmes à grosses voix qui portent des perruques ».

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