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Vidéos du 6 janvier – Tucker Carlson fait paniquer l’establishment

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ÉTATS-UNIS – Tucker Carlson a diffusé plusieurs séquences inédites des 41,000 heures de vidéo captées au Capitole le 6 janvier 2021 que lui avait remis le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy. Ces scènes enregistrées par les caméras de surveillance présentent la situation sous un autre angle que celui matraqué par les médias de masse depuis 2 ans. Carlson s’y appuie pour affirmer que le Comité du 6 janvier et les médias de masse ont élaboré une version mensongère, rien de moins.

Un y voit notamment Jake Angeli Chansley, figure emblématique du 6 janvier et actuellement incarcéré, autrement connu sous le nom de « QAnon Shaman », se promener nonchalamment à l’intérieur du Capitole accompagné de deux policiers. Une des séquences le montre passant à côté d’une dizaine d’autres policiers, qui le laissent avancer sans broncher. Tout ça, alors que des actes de vandalisme avaient été commis et qu’une horde d’individus s’introduisaient dans l’édifice. Ces officiers n’avaient-ils rien de mieux à faire?

Les prises de vue de l’intérieur du Capitole suggèrent un mouvement de foule spontané plutôt qu’une insurrection préméditée. Une foule étant aussi sage que le plus stupide de ceux qui la composent, les gens ont spontanément suivi le flux et sont entrés à l’intérieur.

Pour le citoyen lambda qui n’a rien entendu d’autre que le récit mis de l’avant par les Démocrates et les médias grand public, ces images tranchent avec celles de la « violente insurrection » décriée en boucle depuis 2 ans. Pour les internautes qui ont suivi l’affaire sur les réseaux sociaux, ça corrobore les séquences mises en ligne filmées avec les téléphones cellulaires des intrus.

Tucker Carlson est accusé d’avoir sélectionné les séquences qui conviennent à son argumentation. Dans la mesure où il cherche à démontrer que le Comité du 6 janvier a tronqué les informations afin de construire un récit partisan, c’est effectivement ce qu’il a fait. Il a présenté en primeur des images inédites qui viennent compléter le tableau, mais a aussi repassé certains extraits du grabuge vastement diffusés depuis 2 ans. C’est plutôt le récit officiel de l’establishment politique, retransmis et encensé par les médias, qui s’avère maintenant basé sur un tri partial des séquences vidéos.

L’émission du lundi 6 mars a suscité une vive indignation parmi l’élite médiatique, l’establishment politique Démocrate, ainsi que chez plusieurs Républicains.

Répondant à un journaliste au sujet des révélations de Tucker Carlson, la porte parole de la Maison-Blanche Karine Jean-Pierre a réaffirmé que « le 6 janvier a été la pire attaque contre notre démocratie depuis la guerre civile ». Sur Twitter, Liz Cheney, a répété que « les mensonges de Trump avaient provoqué une violente attaque contre le Capitole ».

Le chef de la majorité Démocrate au Sénat Chuck Schumer considère l’édition du 6 mars de Tucker Carlson Tonight comme l’une des heures les plus honteuses de la télévision américaine. Accusant Carlson de malmener le peuple américain et la démocratie, il a imploré FOX News de ne pas lui permettre de diffuser la seconde partie. Sur Twitter, il a lancé une série de gazouillis condamnant Kevin McCarthy, Tucker Carlson et le réseau Fox News: « Ils continuent de promouvoir le ‘Grand Mensonge’ même si nous savons qu’ils savent que c’est faux ». Chuck Schumer a ensuite décliné l’invitation de Tucker Carslon Tonight. Pourquoi? Certes, de traiter quelqu’un de menteur sur les réseaux sociaux est plus facile que d’aller argumenter avec lui.

De CNN, à MSNBC au New York Times, le malaise est évident. On peut même parler de panique. Au Québec, le chroniqueur Luc Laliberté qui titre son article: « Tucker Carlson, épandeur de merde » dans lequel il évoque « l’entreprise haineuse » d’un « menteur invétéré ». De part et d’autre, on attaque Tucker Carlson, on réitère les conclusions du Comité du 6 janvier, sans toutefois aborder le contenu des séquences vidéo diffusées. La seule position qui accorderait une crédibilité à tous ces détracteurs serait un appel à rendre publiques l’intégralité des 41,000 heures de séquences vidéo. Telle ne semble pas être leur volonté.

La faible sécurisation de l’édifice alors qu’une grosse manifestation y était attendue laisse perplexe.

Tucker Carlson rapporte que la police du Capitole était insuffisamment préparée pour faire face à une manifestation de cette ampleur. Tarik Johnson, un officier de police du Capitole, affirme que personne n’a donné suite à ses appels répétés pour recevoir de l’assistance ce jour là. Johnson blâme Yogananda Pittman, qui était chef adjointe de la police pour les opérations de protection et de renseignement le 6 janvier 2021. Selon lui, elle aurait volontairement empêché de l’information de se rendre aux officiers – ce qui avait déjà été rapporté par un dénonciateur dans un article publié par Politico en octobre 2021.

Le 8 janvier 2021, Yogananda Pittman était promue au poste de chef de la police du Capitole. FOX News a contacté Mme Pittman, mais elle n’a pas donné de réponse.

Le bureau de la présidente de la Chambre Nancy Pelosi était directement impliqué dans l’élaboration du plan de sécurité, qui s’avéra clairement déficient. Selon les responsables de la sécurité, les ressources nécessaires pour protéger le bâtiment leur ont été refusées. Un rapport compilé par Jim Jordan et 4 autres représentants Républicains corrobore que l’inaptitude des dirigeants Démocrates qui contrôlaient la Chambre est responsable d’avoir laissé le Capitole vulnérable.

Reste à élucider le rôle des agences du renseignement dans les événements du 6 janvier. Des fonctionnaires sous serment ont révélé la présence d’agents fédéraux infiltrés, mais les détails demeurent flous. Les séquences vidéo montrent que le mystérieux Ray Eps, l’agitateur qui avait encouragé la foule à pénétrer dans l’édifice, est demeuré à l’extérieur du Capitole plus tard que ce qu’il avait indiqué dans sa déposition officielle. N’étant pas lui-même rentré dans le bâtiment, il n’a été inculpé de rien. Force est de constater que l’enquête du Comité a manqué de rigueur en ce qui concerne celui qui a inexplicablement été retiré de la liste des personnes les plus recherchés du FBI.

En bout de ligne, les quelques scènes sélectionnées par Tucker Carslon mettent à mal le récit officiel, mais demeurent nettement insuffisantes en matière de transparence. On reste encore sur notre faim. Sans excuser l’irruption dans le bâtiment, ni vouloir minimiser la gravité des événements, le besoin de comprendre comment un foule constituée de citoyens ordinaires non armés a été capable de s’introduire si facilement dans le bâtiment qui sert de siège au Congrès est légitime. À qui profite le crime? L’establishment a-t-il facilité une occasion de nuire à Donald Trump et à ses partisans? Trump et son mouvement continuent de représenter une sérieuse menace pour le régime mondialiste de Washington.

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