OPINION/La député de Québec Solidaire (QS) dans Taschereau, Catherine Dorion, a annoncé qu’elle ne serait pas candidate lors des prochaines élections. Une nouvelle qui se mérite le prix « on s’ennuiera pas » pour le mois d’avril.
Élue grâce à la division du vote CAQ/PQ, Catherine Dorion a fait le choix de ne pas risquer une défaite lors des prochaines élections. Une rare preuve de sagesse de sa part. Alors que de nombreux citoyens ont découvert pour qui ils avaient voté lors de son mandat, il y a fort à parier que bon nombre d’entre eux se tourneront vers des candidatures plus sérieuses.
Catherine Dorion nous aura appris que le professionnalisme vestimentaire n’était pas compatible avec l’émancipation des femmes en politique. On se rappellera de son fameux coton ouaté et de son discours en t-shirt. Une belle démonstration de « j’ai l’doua » qui en temps normal aurait dû susciter l’hilarité générale suivie d’un petit rappel au décorum le plus élémentaire.
S’habiller comme la chienne à Jacques était devenu une grande cause des temps modernes. Catherine Dorion se voulait progressiste. Il n’y a pas à dire. Avec des débats comme celui-là, elle progresse la société…
GNL-Québec, si ce n’était qu’une blague…
Il y a par contre un sujet qui laissera un goût particulièrement amer en bouche pour ceux qui ont à cœur le développement économique du Québec : le déraillement du projet GNL-Québec au Saguenay.
Catherine Dorion passera à l’histoire pour avoir contribuer au sabotage d’un important projet créateur d’emplois bien rémunérés pour une région qui en arrache économiquement.
Catherine Dorion passera à l’histoire pour le sabotage de GNL-Québec
Alors que le projet GNL bénéficiait de l’acceptabilité sociale, QS a tout fait pour lui mettre des bâtons dans les roues. Menés par Catherine Dorion et Ruba Ghazal, les militants »solidaires » ont empoisonné l’ambiance en venant organiser des manifestations et des soirées contre le gazoduc.
Le néo-colonialisme vert se déployait dans toute sa splendeur. Des militants qui ne connaissaient rien au gaz naturel et au Saguenay sont venus expliquer aux gens de la région comment ils devaient se développer ou plutôt comment ils devaient rester dans la misère.
Catherine Dorion faisait rire, après ses attaques anti-développement, elle fait pleurer. Elle fait pleurer des familles du Québec qui auraient aimé travailler.