Des alarmistes climatiques ont pris contrôle d’une place publique nouvellement aménagée à Montréal, la Place des Fleurs-de-Macadam.
Le lieu public avait pour but d’être un lieu de rassemblement pour les montréalais, un lieu où les piétons pourraient s’asseoir et prendre quelques minutes de pauses.
Pourtant, la place est désormais tapissée de tentes, d’activistes radicaux qui y ont déclaré occupation. La scène n’est pas sans rappeler un campement d’itinérants.
Sur les banderoles, on peut lire : « Crise climatique = Crise économique = Crise Sanitaire = Crise Sociale! », et encore « État d’urgence climatique ».
Le campement s’est donné le nom « Campement citoyen pour un virage vert et juste », une novlangue qui révèle les aspirations sous-jacentes des alarmistes climatiques : faire tomber l’économie de marché pour y instaurer un système « juste » (socialisme ou communisme) qui aboutira inévitablement en famines et en dérives totalitaires.
On peut lire sur un signe : « Les changements climatiques tuent plus que la COVID », une affirmation fausse et plutôt insultante pour les 650,000 hommes et femmes ayant perdu la vie en l’espace de quelques mois en raison du virus.
Malgré le fait que camper ainsi dans un espace public est illégal, aucune présence policière n’est présente autour du campement. Dans une ville où la clownesque mairesse Plante se réclame d’une idéologie similaire, soit de justice sociale absolue et d’alarmisme climatique, il n’est pas étonnant de constater que la Loi et l’Ordre ne sont pas respectés.
Les médias ont aussi gardé un silence complet sur le campement illégal, démontrant ainsi que le radicalisme des alarmistes climatiques est devenu une chose commune, acceptée et légitimisée dans la société québécoise où les médias et politiciens n’osent pas confronter le délire idéologique croissant.