Dans son nouveau documentaire Planet of the humans, l’activiste et environnementaliste de gauche radicale affirme que les énergies vertes sont une fraude qui contribue à la destruction de la planète.
Selon lui, les compagnies d’énergies renouvelables sont des coquilles vides pour les intérêts de Wall Street.
Les énergies éoliennes, solaires et véhicules électriques sont pointés du doigt comme étant plus dommageable à l’environnement que les énergies fossiles traditionnelles.
L’énergie solaire et éolienne utilisent des terres agricoles précieuses et nécessitent des quantités astronomiques de béton, d’acier et de fibre de verre. Ces infrastructures tombent alors en décrépitude après seulement 20 ans d’utilisation.
Les batteries des autos électriques nécessitent des minéraux rares qui doivent être minés dans le tiers-monde, créant au passage « le procédé le plus industriel et toxique que nous avons créé ».
« La seule raison pourquoi ils nous font croire que les changements climatiques peuvent être contrés par les énergies renouvelables est parce que des milliardaires, banquiers et corporations font d’énormes profits avec les renouvelables », affirme Jeff Gibbs.
