Larousse, définition de dictature : Régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire ; durée pendant laquelle s’exerce le pouvoir d’un dictateur.
Je suis seulement un simple citoyen qui voit clair et qui s’interroge sérieusement.
Depuis quelques jours je vois des gens « dérangés » à la télé. Car malgré ce qu’ils affirment toute personne intelligente comprend bien qu’il n’y a jamais eu de pandémie. Tous les chiffres le démontrent. Les conséquences de leurs paroles ou de leurs actes seront terribles pour la population du Québec, incluant les « vieux », comme Legault les désigne. Car il ne semble pas les considérer comme des personnes âgées ou des aînés.
Ils s’attaquent maintenant aux enfants. Eux qui ne sont pas des vecteurs du virus, et ne sont pas contagieux, même Horracio Arruda le soutient, on les terrorise et on leur impose des mesures et expériences absolument illogiques et anxiogènes. Que les parents se débrouillent avec tous les problèmes psychologiques, et logistiques qui en découlent.
Leurs propos sont complètement illogiques ; tout le monde sait que cette histoire du virus est une arnaque sociale de première grandeur et rien d’autre, et que ce virus de grippe est inoffensif depuis des mois. Et malgré cette vérité, ils s’entêtent à vouloir continuer à instiguer cette peur et cette anxiété tellement déraisonnables à cette partie de la population plus faible en raisonnement. Et ceux-là les croient. C’est déplorable.
Si leurs arguments décousus, insensés et non fondés en fait sont des vérités dans le capharnaüm de leurs esprits, alors la destruction d’une société paisible et prospère semble être maintenant bien programmée dans la tête de cette classe de politiciens.
Ces politiciens agissent tels des sbires dans la commission d’un crime contre le peuple. Crime contre le peuple tel qu’infligé des sévices à la population en rendant obligatoire le port d’un masque ou « couvre-visage » (sic), accessoire politique de soumission dont l’efficacité est loin d’être assurée aux porteurs (source INSPQ, sept. 2020)
Le cauchemar des citoyens empire. Une des complices nous avise que la police est maintenant utilisée, non plus dans ce rôle de protection du citoyen, mais dans ce rôle de contention et de répression, et réitère son encouragement à la délation entre citoyens. Cette même complice parle maintenant de l’établissement d’une police privée.
Police privée ? Donc politique aux ordres directs du pouvoir ? Très inquiétant !
Deux autres complices, tels un scénario bien joué sont venus ordonner d’autres mesures de coercition envers le peuple. Et le chef leur a même implanté son kaléidoscope des couleurs dans la tête. Comment tous ces complices peuvent-ils dormir ?
Ces mesures visent entre autres, le bris de noyaux potentiels de « résistance », soit la famille et le cercle d’amis rapprochés. Les mesures visent également des activités sociales visant à une certaine joie de vivre. On va isoler de nouveau les résidents des RPA et CHSLD’s, même ceux qui n’ont eu aucun cas, c’est complètement inhumain. Un peuple doit être tenu dans la peur, l’anxiété et l’ignorance des réalités des vérités et des faits.
Le peuple sera ainsi progressivement soumis sous le contrôle d’une clique de petits dictateurs. Qui sont-ils ?
On y retrouve tous les individus collaborateurs du régime installés peu partout. Qui sont ces personnes au cerveau bien lavé ? Ou bien leur supérieur croit-il que Legault l’a investi de cette mission ? Ou bien les ordres du gouvernement : « Filmez-les, comptez-les et appelez la police » sont-ils des commandements dans leurs cervelles ? Ces « collabos », eh oui, le font « gratis ». Imaginez si des têtes étaient mises à prix? Et il y en a d’autres. Ceux-là sont souvent inconscients de leur dérive, ainsi ;
Un employé de quincaillerie qui rabroue un client qui ne porte pas son masque « comme il faut ». Une commis de supermarché qui en pousse un client non masqué vers la porte en l’engueulant. Un travailleur dans une tour à bureaux qui exige d’un citoyen non masqué qu’il sorte de l’ascenseur. La directrice d’école en dérapage total ordonnant des mesures angoissantes et coercitives nuisant au bon développement des enfants.
Une employée du gouvernement qui refuse le service à un citoyen non masqué, alors qu’elle ne porte aucun masque et est assise derrière un plexiglas. Un individu hystérique qui menace un citoyen d’appeler la police, car celui-ci n’a pas son masque dans le vestibule d’un immeuble.
Une patiente a rendez-vous en consultation externe, pour une colonoscopie. Un léger sédatif sera administré pour « détendre ». À son arrivée, on lui apprend qu’elle doit passer « le test » absolument inefficace du covid. Elle refuse net ; s’ensuit une âpre discussion de plusieurs minutes avec la marâtre de service. Comme cette hystérique ne peut démontrer aucune justification, la patiente a finalement gain de cause.
Et comble de la petite dictature, elle entend (estomaquée) cette marâtre dire à une autre : — « La prochaine fois, ce sera le sédatif en arrivant, ils seront moins combattifs pour refuser ». (Histoire vraie de la patiente).
À cette « collaboration malsaine et vicieuse », s’ajoute le voisin qui « appelle la police » pour rapporter un regroupement familial, où il y a peut-être… trop de personnes.
L’histoire nous l’a démontré à maintes reprises, que l’instauration d’une dictature commence par l’abolition progressive des droits et libertés, et l’enrôlement de petits dictateurs, qui deviennent les yeux, les oreilles et les bras du régime. Suivra la main mise sur les organes médiatiques.
Ce parti politique qu’on devrait peut-être renommer, la Coercition Administrée du Québec, a complètement dérapé dans le sillage de son chef. Ses membres doivent être considérés complices de ce crime contre le peuple, ainsi que n’importe lequel élut qui le supporte.
Aucun qui ne semble capable d’afficher une certaine probité ? Aucun incorruptible parmi les élus ? Aucun assez consciencieux pour exprimer son désaccord ? Honorabilité ? Pouf, disparue ! Aucun respect pour les citoyens.
Aucune dissidence ne semble être acceptée, et cela est quand même assez étonnant de la part de personnes généralement sensées. Tous ne peuvent être d’accord avec cette dérive de la CAQ. Comment sont-ils tenus en laisse ? Privation du poste et des avantages ?
Même les députés de « l’Opposition », terme complètement risible aujourd’hui, sont cois et bien terrés dans leurs trous, avec en prime le dépôt de la paie bien programmé aux deux jeudis. Ou comment s’afficher complice.
Lorsque les « élites » se cantonnent et laissent un seul homme, ou un petit groupe d’initiés décider du sort d’un peuple, notre société est en danger. Et on appelle ça une…
