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Opinion | Les séries du Canadien révèlent au monde entier l’absurdité des mesures sanitaires québécoises

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Que l’on soit un partisan inconditionnel ou non, le Canadien de Montréal détient le mérite d’avoir révélé à l’échelle continentale l’absurdité des mesures sanitaires en place. Bien que l’incohérence de cette gestion soit une constante, cette fois, le contraste avec les États américains est particulièrement saisissant.

Même les commentateurs sportifs délaissent leur neutralité objective, choqués par le puritanisme sanitaire de François Legault. L’Amérique du Nord observe le Québec avec perplexité, plombé par la lourde tutelle d’un premier ministre à tendance despotique.

Les Canadiens de Montréal ont accompli l’exploit de canaliser l’énergie et l’espoir restant du Québec, peu importe l’affiliation politique. Cet exploit démontre que le sport n’est pas purement physique, il porte aussi une dimension nationale fondamentale. Ce fut malheureusement un triste spectacle que d’observer le centre Bell rouler à faible capacité, masqué et distancé, dans une ambiance de délabrement national. Alors que Las Vegas et la Floride ont eu droit à une foule hystérique et galvanisée, notre équipe n’a pu tirer que des résidus d’effervescence partisane.

Certes, il serait de mauvaise intention que d’attribuer la défaite des Canadiens uniquement aux politiques de François Legault. L’équipe de Tampa Bay est indéniablement d’un calibre exceptionnel, féroce et muni d’un gardien digne du plus robuste des blindages. Cependant, cette défaite sera commémorée par la lâcheté d’un premier ministre provincial, se disant « partisan des CH » alors qu’il aura volontairement jeté son équipe à l’abattoir sans une masse de partisans effrénés à la rescousse. L’arbitraire de François Legault se dit au service de la nation québécoise, mais dans les faits, il contribue directement à sa déliquescence.

La coupe Stanley n’en est qu’une illustration parmi d’autres. Notre équipe aurait dû se doter d’un stade plein à craquer afin d’encourager nos vaillants soldats, même si la défaite devait advenir. Manifestement, il semblerait que ces principes ne cadrent pas dans les priorités de François Legault. La science a le dos large, beaucoup trop large. Le peuple devra se souvenir.

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