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Au Québec, la gomme est un « bien essentiel » tandis que les vêtements d’hiver pour enfants sont « non essentiels ».

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Depuis le 26 décembre, les magasins vendant ce qui est considéré comme « non essentiel » ont été fermés par le gouvernement, tandis que les magasins vendant des articles « essentiels » peuvent rester en activité mais ne sont pas autorisés à vendre des biens « non essentiels ».

Le gouvernement du Québec a donné peu de directives aux détaillants et a causé une grande confusion et un grand chaos tant pour les détaillants que pour les consommateurs.

CTV a souligné l’histoire d’Alicia Aghazarian, qui, alors qu’elle déménageait de chez elle et emballait ses affaires, a manqué de scotch.

Au magasin, on lui a dit que le scotch n’était pas essentiel. Il lui a donc été interdit d’acheter l’article qui, dans son cas, était essentiel.

La plupart des magasins de la province ont également cessé de vendre des appareils électroniques tels que des fours et des réfrigérateurs. Pour un ménage dont le réfrigérateur ou le four est en panne, le remplacement de son appareil devient plutôt indispensable. Pas selon le gouvernement du Québec.

Des magasins comme Dollorama avaient interdit la vente de vêtements d’hiver pour enfants (chapeaux, gants, foulards) mais ont continué à vendre des menthes et de la gomme à mâcher.

Les articles d’allaitement tels que les tire-lait et les coussinets d’allaitement ont également été jugés « non essentiels » et leur vente est interdite. Pourtant, les magasins d’alcool et de cannabis appartenant à l’État continuent de fonctionner à plein régime.

Malgré la fermeture des magasins « non essentiels » et les nombreuses mesures restrictives prises par le gouvernement Legault, le nombre de cas continue d’augmenter dans la province qui est en état de fermeture depuis le 1er octobre, ce qui confirme que les fermetures restrictives ne sont pas efficaces pour faire baisser le nombre de cas, et que le gouvernement du Québec devrait peut-être revoir sa stratégie.

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