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COVID-1984 : Comment une crise mondiale liberticide fractionna le Québec

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Depuis des décennies, les gouvernements occidentaux embrassent les pieds de l’Arabie saoudite pour une question d’argent et de pétrole. Ils agissent de la même manière avec la Chine communiste, les cartels bancaires et les grandes entreprises pharmaceutiques. Les gouvernements n’ont plus aucune moral
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Par : Sylvain Gauthier

Un essai peut avoir plusieurs objectifs. Mais il précise avant toute chose une pensée, une vision philosophique. Par ce bouquin, je ne souhaite pas nécessairement m’attaquer à une idéologie précise; d’être contre le multiculturalisme, contre la gauche, contre l’immigration, contre ni même l’islam. Il ne s’agit pas non plus de combattre un dogme pour le simple plaisir de le faire. Ma priorité, et probablement celle de bien des gens, débute par un amour de la patrie : le Québec. Réveiller l’instinct nationaliste caché dans le cœur et l’âme d’un peuple unique et tenace. 

Le multiculturalisme menace le Québec. C’est son principal ennemi. Les élites nous imposent cette doctrine de force. Il y a un biais évident. Mon essai tente de montrer comment la gauche est parvenue à profiter d’une crise sanitaire dessinée d’abord par le capitalisme sauvage. 

Depuis des décennies, les gouvernements occidentaux embrassent les pieds de l’Arabie saoudite pour une question d’argent et de pétrole. Ils agissent de la même manière avec la Chine communiste, les cartels bancaires et les grandes entreprises pharmaceutiques. Les gouvernements n’ont plus aucune morale. 

En dérision, pendant la crise covidienne, plusieurs cherchèrent le qualificatif juste pour définir le tandem Legault et Arruda. Leur imagination était fertile : insensibles, illuminés, dictateurs, tyrans, salopards, crapules, etc. Vous pourrez après la lecture de mon bouquin jouer à cette surenchère lexicale. 

—–

Sylvain Gauthier est collaborateur au magazine Le Harfang et auteur de L’ Occident dans la soupe chaude, je suis passionné par la politique et l’histoire. Au gré des années, je suis devenu un ardent patriote québécois et un critique sévère du multiculturalisme. 

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