• partager
Share on facebook
Share on twitter
Share on email

Faut-il privatiser Hydro-Québec ?

Share on facebook
Share on twitter
Share on email
Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on reddit
Share on email

La question de la privatisation d’Hydro-Québec se pose plus que jamais. Vu l’incompétence de la société d’État de fournir un service décent à la population, la solution est claire.

5 jours depuis la soi-disant tempête du siècle, des dizaines de milliers de familles Québécoises sont encore dans le noir. Les conséquences sur la santé peuvent être extrêmement graves.

Que faire si vous avez un bébé qui a besoin de lait chaud ? Que faire si vous avez une bonbonne d’oxygène à recharger ?

Pendant ce temps, la société d’État se permet de rire des citoyens sur les réseaux sociaux.

Au privé, JAMAIS vous ne vous feriez répondre sur le ton passif-agressif d’Hydro-Québec.

Voilà ce qui arrive quand on se croit tout permis avec une convention collective négocié par et pour les syndicats. On se fait plaisir et le client est bon dernier.

En privatisant, la compétition ferait du Québec une étoile électrique mondiale. Nous ne sommes pourtant qu’un joueur moyen. Quel potentiel gâché !

Et dire que les écolos veulent en finir avec le gaz. La population serait alors esclaves du gouvernement.

Imaginez une tempête pareille avec des véhicules électriques. L’enfer.

Pendant ce temps, pourquoi est-ce qu’on ne travaille pas minimalement à enfouir les fils électriques comme en Europe ? Problème réglé !

Nous n’avons pas les moyens paraît-il… Mais pour engager un modérateur qui rit des citoyens, là il y a de l’argent.

Les priorités ne sont pas aux bonnes places.

Bonne chance à ceux encore pris dans le noir. Tout le Québec est avec vous en pensée.

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on reddit
Reddit
Share on email
Email

Les nouvelles à ne pas manquer cette semaine

  • Vous aimeriez aussi

Parlons un peu de l’arrogance du NPD

Le nouveau Parti démocratique, qui n’est ni « nouveau » ni « démocratique » est un parti qui évolue depuis une soixantaine d’années sur la scène canadienne. Il a

Assistons-nous au grand retour des libéraux?

Il ne faut pas donner l’ours pour mort avant de l’avoir tué. Cet adage qui témoigne d’une sagesse populaire s’applique bien évidemment à la politique

Jour de la Terre : c’est quoi, en faire assez?

Malgré les décennies qui passent et les modalités profondément changeantes des enjeux environnementaux, on a toujours droit aux mêmes slogans dans les manifestations écologistes. À

  • Nouvelles semblables
  • Autres articles de Jacques Bref