Chroniqueuse exceptionnelle et intellectuelle de haut niveau, Denise Bombardier n’en finit pas de fulminer sa haine et sa répugnance du Président américain.
Notez qu’elle n’est pas la seule à vomir son mépris sur Donald Trump, tous les chroniqueurs, journalistes et commentateurs sont atteint du même syndrome.
Il est vrai qu’il n’y a aucun risque à se comporter de la sorte. Les Québécois (en incluant ma parenté et mes amis) n’écoutent et ne lisent que des propos haineux émanant de la presse, de la télé, des artistes et des «experts».
Quand tout le monde «pense pareil», on peut se «lâcher à fond la caisse».
Mais ce qui m’a bouleversé dans le brulot de Mme Bombardier, c’est le dégout qu’elle a manifesté à l’égard de l’électorat de Donald Trump : ceux qui votent pour lui sont «des petits blancs pauvres, déclassés, intolérants et suprémacistes».
C’est pourtant elle qui monte aux barricades (avec raison) quand la gauche multiculturaliste et les Anglos traitent les Québécois de souche de blancs bornés et intolérants.
Ceci étant dit, je m’étonne toujours de constater que ceux et celles qui ne cessent de trainer Trump dans la boue ne jettent jamais le moindre coup d’œil du côté du parti Démocrate. C’est quand même étonnant qu’aucun de ceux et celles qui ont la nausée rien qu’en voyant une photo de Donald Trump, ne s’intéressent pas du tout au parti qui s’est donné comme mission de déloger l’infâme de la Maison Blanche.
J’ose pourtant leur suggérer de jeter un coup d’œil sur ce qu’est devenu le parti Démocrate. Ce n’est plus le parti du temps de Kennedy ni même celui de Bill Clinton.
C’est maintenant devenu un parti socialiste. Bernie Sanders et Elizabeth Warren sont des socialo-communistes. Et comme Sanders a failli être le candidat du parti, on peut conclure que le parti Démocrate est à tout le moins un parti socialiste. Les jeunes Démocrates, eux, sont soit des écolo-socialistes où des socialo-écologistes.
Et quand on jette un coup d’œil sur les élus Démocrates au Sénat et à la Chambres des Représentants on y trouve des écolos frénétiques (comme Alexandra Cortez), des antisémites affichés et des socialistes assumés.
Et il ne faut surtout pas mettre en évidence la déchéance du parti Démocrate. Le faire serait faire paraitre Donald Trump moins pelé et mois galeux.
LES ÉMEUTES DÉMOCRATES
Curieusement, les émeutes qui font rage aux États-Unis se déroulent, par un drôle de hasard, dans des villes gérées (si on peut dire) par des maires et des conseils municipaux résolument Démocrates.
Et ce sont deux brigades qui sont aux commandes : les Antifas et les Black Live Matter qui sont des terroristes et des casseurs. Et lorsque que quelques uns de ces «gentils chevaliers» sont arrêtés (faut bien donner le change), il arrive que leurs cautions sont payées par des Démocrates y compris des membres du personnel de l’organisation de Joe Biden.
Et les émeutes ont commencé avant le la mort de George Floyd. Mais sa déification a, pourrait-on dire, mis de l’huile sur le feu.
Je donne la parole à Candace Owens, commentatrice politique de droite, figure emblématique de la droite noire (ça existe) :
«Depuis les cinq, six dernières années, il est devenu normal pour nous de transformer du jour au lendemain des criminels en héros… Sachez que G. Floyd au moment de son arrestation était défoncé au fentanyl et à la méthamphétamine comme confirmé par deux rapports d’autopsie…Je ne dis pas que le détenteur d’un casier judiciaire ne mérite pas une seconde chance, après avoir purgé sa peine, mais je fixe une limite après le second, troisième, quatrième, cinquième, sixième, septième, huitième et neuvième séjour en prison…
Je ne défends pas D. Chauvin, il sera puni comme il le mérite, mais pourquoi prétendons-nous que ce criminel soir élevé au rang d’un citoyen admirable, de martyr de l’Amérique noire suite à un faux récit? A propos, la brutalité policière motivée par le racisme est un mythe…
Non seulement nous utilisons cette mort pour provoquer des émeutes et des protestations en laissant croire que G. Floyd était un citoyen honnête de la communauté noire qui fut plaqué au sol et tué sans aucune raison, mais nous incitons aux troubles, au cours desquels des Noires meurent, au cours desquels d’intègres citoyens noirs sont tués, comme le shérif David Dorn, «abattu par balle par des pillards «pacifistes» alors qu’ils tentaient de protéger un mont-de-piété appartenant à des Noirs…»
Candace Owens
Vous pouvez avoir accès à tout son texte en visitant le site DREUZE.
N’oubliez jamais que les émeutes ne sont pas spontanées, elles sont organisées, elles sont délibérément violentes et elles sont
Politiques sans la moindre ambiguïté .Il faut dire aussi que la connivence entre les Démocrates et les casseurs anarchistes est évidente. Les gauchistes démocrates jubilent, le candidat démocrate Joe Biden aussi.
Si vous ne voyez pas que Husein Obama encourage les escadrons de la violence urbaine à poursuivre les manifs prétendument pacifiques, c’est que soit vous êtes aveugles, soit vous êtes un anti-Trump virulent.
JOE BIDEN, LE MOINS PIRE
Sachez que je comprends très bien que ceux qui détestent Trump de façon quasiment hystérique n’osent pas jeter un coup d’œil du coté du candidat désormais officiel du parti Démocrate. S’ils le faisaient, ils risqueraient de faire une dépression.
Parce qu’ils verraient que Joe Biden est le pire des candidats pour affronter le Président Trump.
Non seulement, il traine depuis longtemps des relents de corruption et c’est un secret de polichinelle au sein de qu’on appelle «le marécage nauséabond de Washington ». Et il impossible qu’une pareille «casserole» passe inaperçue pendant la campagne.
D’autre part, il y a une accusation d’agression sexuelle qu’il ne pourra pas glisser sous le tapis. Et elle est pas mal plus dangereuse pour lui que ce fut le cas du juge de la Cour Suprême des États-Unis, Bret Kavanaugh, qui fut lui aussi accusé du même délit mais, dans son cas, sans témoins crédibles.
Et puis il est affligé manifestement d’un début de démence. Quand on sait qu’une campagne présidentielle est une véritable « guérilla», je doute que Joe Biden parvienne à se rendre au sommet.
Mais je demeure persuadé que les médias, les chroniqueurs, les politiciens et les «experts» du Québec n’auront pas le courage de faire un diagnostic approfondi du cancer gauchiste qui ronge le parti Démocrate. Ce serait trop pénible à supporter.