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L’effective nationalisation politique du commerce et des affaires au Québec

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L’indépendance et l’autonomie de leur gestion quotidienne gérant une bonne partie de leurs activités sont maintenant passées sous le contrôle gouvernemental, avec cette nationalisation politique, qui a toutes les apparences de l’installation d’un régime totalitaire.
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Cette nouvelle fait l’effet d’un coup de tonnerre dans le monde du commerce au Québec.

Ces entreprises indépendantes, réagissant normalement aux lois du marché, ont vu se produire une prise de contrôle hostile de leurs activités, par le Gouvernement du Québec, le 18 juillet dernier.

L’indépendance et l’autonomie de leur gestion quotidienne gérant une bonne partie de leurs activités sont maintenant passées sous le contrôle gouvernemental, avec cette nationalisation politique, qui a toutes les apparences de l’installation d’un régime totalitaire.

Les nouvelles directives gouvernementales de gestion de leurs activités quotidiennes représentent maintenant un sérieux obstacle à la survie financière, pour plusieurs d’entre eux.

Fait étonnant, aucune association les représentant ne s’est opposée ; pourquoi ?

Il ne fait nul doute que certains s’en tireront assez bien. Mais le glas sonnera pour beaucoup d’autres.

Le poids excessif des directives pour la main d’œuvre de ces entreprises commerciales devient insupportable. Les proprios et employés en ont assez de jouer à la police, à subir les affres des confrontations entre clients et avec le personnel, la pression de la direction terrorisée par le « spectre des amendes ».

Ce que nous redoutions est arrivé. Le Québec est maintenant le monde « Orwellien » de « 1984 ». 

Les associations fautives, par leur absence totale de s’opposer à cette prise de contrôle :

Association des détaillants en alimentation du Québec 

Conseil québécois du Commerce de détail 

Conseil canadien du Commerce du Détail

Fédération canadienne de l’entreprise indépendante

Les Costco, Loblaws, Metro, Sobeys, Walmart, Couche-Tard, etc. …

Corporation des propriétaires de bars, brasseries et tavernes du Québec

Les exploitants des centres commerciaux :

Fonds de Placement immobilier Cominar

Ivanhoé Cambridge

Oxford Properties

Association syndicale pour la « protection » des employés :

Détail Québec, comité sectoriel de main-d’œuvre du commerce de détail. 

Tous les autres syndicats représentant la main d’œuvre du commerce.

Et finalement, tous les propriétaires, exploitants, locataires, des complexes, édifices d’affaires, de bureaux, et de tous points de vente accessible au public.

Mais où sont passés ces champions de la libre entreprise ?

Quel « àplatventrisme » de soumission…

Trop « contents » de pouvoir « enfin » recevoir la « permission » de l’État omnipotent de « refaire des affaires », ou de reprendre leurs « affaires » en main. Comme des bagnards qui acceptent le fouet pour tirer une charge à l’extérieur, plutôt que casser du caillou dans la mine.

Vous faites le jeu de l’avilissement. Si tous les gens d’affaires se tiennent debout, contre l’application de l’obligation, le gouvernement perd son pouvoir d’asservissement.

Tous ces gens bien intentionnés sans doute, ne semblent pas réaliser à quel point ils perdent lentement le contrôle de leurs entreprises, en s’abandonnant ainsi. Bientôt on aura des restaurants d’État, des bars d’État, des magasins d’État, avec tout ce que ça suppose.

Jusqu’ici, installer des plexiglas partout, partout ; installer des cordons ; coller des « petits pieds » à 2 m ; faire des flèches ; bloquer une porte, bloquer des allées ; limiter le nombre de personnes ; limiter le temps de magasinage donc les achats impulsifs ; bloquer les toilettes ; masquer les employés ; fournir du décapant à main ; payer un agent de sécurité ; vous ne trouvez pas que c’est assez ?

Et maintenant, c’est de jouer à la police du « masque de la honte », dont le port obligatoire viole toutes les dispositions de la Charte des Droits et Libertés. Et cela sous peine de voir un petit fonctionnaire bigleux débarquer et remplir un constat d’infraction. Et demain, ce sera quoi ?

Contrôle informatique de leurs caisses, relié à Revenu Québec ? Installation de caméras de surveillance reliées aux organismes gouvernementaux ? Amendes et droits sur les produits ne provenant pas du Québec ? Obligation d’acheter l’alcool de décapage des mains d’une entreprise « amie » de ce gouvernement ? Etc. … Je vais cesser l’énumération, des fois que…. Et il faut s’inquiéter sérieusement.

Le commerce et/ou activité d’affaires en ligne favorisera un peu plus ceux qui auront su s’adapter rapidement, mais pour les autres c’est la visite chez le syndic.

Et il y aura des conséquences, pour les plus « matraques » de ces gens d’affaires. Certains plus logiques et en désaccord, devant la soumission de leurs associations et en respect de leur conscience, favorisent un relâchement de cette aberration.

Et si jamais, un jour toute cette hystérie cesse… il y a fort à parier que les clients se souvenant de cette sympathie reviendront plus aisément.

Par contre, les imbéciles « matraques » qui auront appliqué « à la lettre » ces mesures absolutistes verront leur clientèle diminuer de façon notable.

Déjà certains de ces imbéciles deviennent notoires en un clic de caméra téléphone, ou un « post » de réseau social. Et ça, tout le monde se souvient, de la photo et de l’endroit.

Qu’attendez-vous le monde des affaires, pour cesser de participer à cette arnaque sournoise ?

À moins que… Serait-il possible que certains y trouvent leur compte dans cette participation ?

Sinon alors, comment expliquer cet abandon du contrôle de leurs affaires aux mains de politiciens, sans aucun égard pour la population.

Ces politiciens savent très bien que sans la « collaboration » du milieu des affaires, le maintien de ce climat de peur et d’angoisse serait beaucoup plus difficile, même impossible.

Une fois obtenus le contrôle de l’information, ce qui est déjà dans la poche, le contrôle des affaires est tout aussi important.

Souvenez-vous qu’en mode inverse, en Allemagne nazie, il était interdit d’acheter d’un marchand juif, d’aller consulter un médecin ou un avocat juif. On leur coupait les vivres pour mieux les contrôler.

Ici on contrôle les gens d’affaires, sous menace de leur couper les vivres. Et oui, ça fonctionne dans les deux sens, avec un gouvernement fourbe et retors.

Ah, mais, et le virus dans tout ça ? Tiens on l’a oublié. Et c’est normal, parce que ce virus a bien muté depuis mars dernier, au point ou on n’en parle plus. Comme tous les virus de grippe à chaque année, d’année en année. Sans confinement, sans restrictions et sans masques…

Souvenez-vous, « On va aplatir la courbe »… ? … Quelle courbe ? … Celle des dos courbés ?

Eh bien le gouvernement a réussi…

– « Tout le monde à plat ventre ! »

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