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Lettre ouverte à Christian Dubé | Les questions que les médias subventionnés ne posent pas

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Lettre ouverte au Ministre de la santé, lundi le 14 juin 2021.

Cher Ministre Dubé,

Québec Nouvelles est une alternative aux médias au Québec. Nous essayons de présenter les nouvelles de manière non-partisane, objective et non-idéologique. Nous voyons également un rôle pour la presse de tenir le gouvernement responsable pour ses actions et inactions. Par cette lettre ouverte, nous vous posons quelques questions par rapport à l’approche du gouvernement caquiste vis-à-vis la pandémie du COVID-19. Au lieu de se baser sur la peur, on essaie ici de se baser sur les faits et les découvertes récentes. Nous sommes disposés à y rajouter votre réponse une fois elle aura été reçue.

D’abord quelques questions par rapport à la stratégie de confinement :

1) La nécessité du confinement a été questionnée plusieurs fois. La moyenne des hospitalisations COVID à travers le Québec la deuxième semaine d’avril était de 67. Ces 67 hospitalisations sur une population de plus de 8 millions de Québécois sont utilisées par le gouvernement pour justifier la continuation du confinement. Avec si peu de cas et l’absence d’une troisième vague, pourquoi le confinement continue-t-il et les citoyens se voient toujours privés de réunions avec amis et famille, plus d’un an depuis le commencement des mesures ?

2) Le confinement a été prouvé inefficace pour “sauver des vies”. Vous serez au courant du tavail du Dr. Toubiana, publié il y a un mois, le 26 mai 2021. Le docteur a démontré que le taux de mortalité en Suède, en absence de mesures drastiques, est exactement le même qu’au Québec : 1,2 cas par 1,000. Le docteur n’est pas le seul à arriver à cette conclusion. Une comparaison entre quatre juridictions , avec plus ou moins de mesures de confinement, démontre que les résultats restent les mêmes pour toutes. En plus, le plan du Québec de 2006 pour une pandémie ne mentionne jamais de mesures comme le confinement comme stratégie efficace. On savait depuis longtemps que le confinement n’est pas une stratégie utile. Pourquoi le gouvernement continue-t-il de se fier sur le confinement comme stratégie si celui-ci est inutile pour combattre la pandémie ? Est-ce vraiment suffisant de dire que les autres gouvernements font de même ?

3) Non seulement il est inutile mais encore, le confinement cause considérablement plus de décès qu’il n’évite (s’il y en a). Depuis la publication du rapport de Statistiques Canada en mars 2021, nous pouvons être certains que la prédiction du Dr. Ari Joffe d’Edmonton en janvier était correcte : le remède est pire que la maladie ! Vu la perte de vies importante due aux chirurgies, la détection et le traitement retardés, les suicides en hausse et la dette importante accumulée et les faillites de beaucoup d’établissements québécois, quelle est la raison que le confinement continue jusqu’à ce jour au Québec, et reste parmi les plus sévères du monde ?

Nous avons quelques questions supplémentaires par rapport à la campagne de vaccination :

4) On continue la campagne de vaccination malgré les résultats de recherche publiés le 30 avril, lesquels indiquent que « on avait tort parce que la protéine spike même cause la maladie et si l’on injecte des milliards de ces protéines dans le corps humain, il y aura des manifestations de maladie dans beaucoup de cas. » Cette réalisation vient d’un labo renommé en Californie où ils ont fait des tests en vitro avec la protéine spike, ce qui a montré que les maladies cardiovasculaire/inflammatoires sont causées par cette protéine. C’est donc insensé d’utiliser cette protéine nocive comme base des vaccins, ce qui a mené à beaucoup d’effets secondaires indésirables, même des décès. Quand le gouvernement va-t-il considérer la science et terminer la campagne de vaccination ?

5) Nous nous demandons également pourquoi le gouvernement s’est fié seulement sur les vaccins pour combattre la COVID-19. Il existe des médicaments pour traiter la COVID (Ivermectine, Hydrochloroquine, Acithromycine) sans hospitalisation (application au début de la maladie requise). On sait au moins depuis le témoignage du Dr. Kory devant le Congrès américain en octobre 2020 que l’Ivermectine est aussi efficace que certains vaccins dans la réduction des symptômes de la COVID. Il y a maintenant plusieurs douzaines d’études internationales qui démontrent les effets positifs de l’Ivermectine et de l’Hydrochloroquine. Pourquoi le Ministère de la santé n’a-t-il pas misé sur ces remèdes prouvés, bon marchés, avec peu d’effets secondaires, et la recherche d’autres remèdes sécuritaires, au lieu de se fier seulement sur les vaccins ? Et pourquoi ces remèdes ne sont-ils toujours pas disponibles pour les Québécois à cet instant ?

Figure 1 – Utilisation de l’Hydroxychloroquine dans le traitement du COVID-19

Source : https://c19hcq.com/countries.html

6) On nous dit que seuls les gens vaccinés pourront désormais ne pas porter le masque à l’intérieur. Comment M. Legault peut-il faire une pareille annonce, vu qu’une telle restriction est discriminatoire et même illégale ? Le Canada fait partie de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme, laquelle stipule : « Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice. » Notre Charte nous garantit également de la protection contre les mesures médicales imposées, directement ou indirectement. Il existe déjà de la division et contrainte au Québec par rapport aux vaccins : certains CÉGEPs demandent la preuve de vaccination et le secteur de la santé est contraint (en partie) à se faire vacciner. Pourquoi notre gouvernement crée-t-il des désavantages pour les non-vaccinés, lorsque la décision de se vacciner devrait être un choix informé, libre et personnel ?

7) Les médecins de famille au Québec ne font pas de suivi par rapport aux effets secondaires des vaccins. Pourtant, on a entendu maintes anecdotes, y inclus des mortalités causées par les vaccins, comme par exemple. les problèmes avec Moderna  dans une communauté en C.-B., dans les résidences ici au Québec etc. Cette information indique que le taux des complications sévères est plus haut que les chiffres circulés généralement, et peut atteindre 1 à 2 % ou même plus. Nous n’avons donc pas de ressource statistique fiable des effets secondaires des vaccins, afin de donner un consentement informé à la vaccination. On se fie aux rapports faits aux centres régionaux. L’étude CANVAS-COVID est utile mais est peu connue et ne semble pas suffisante pour capturer un maximum d’effets. Les rapports sur les réactions aux vaccins sont difficiles à soumettre à Santé Canada et sont parfois rejetés, en sorte que l’information n’est pas reçue ni évaluée. Une approche québécoise serait donc nécessaire mais l’environnement professionnel supprime la discussion publique sur la meilleure approche, au point que les experts se voient muselés  « parce que ça donne l’impression qu’on n’a plus le droit de parler ou de ne plus exprimer et faire circuler des idées ». Pourquoi les docteurs canadiens qui veulent se faire entendre doivent-ils créer des organisations comme la Canada Health Alliance ? Vu le caractère expérimental des vaccins, pourquoi le gouvernement n’entreprend-il pas de campagne concertée de suivi, en instruisant les médecins de famille à reporter les effets négatifs des vaccins et en information la population ?

8) Au lieu de se concentrer sur les plus vulnérables, la campagne de vaccination vise maintenant les jeunes de 12 ans et plus. Le gouvernement admet que ce groupe n’est pas affecté fortement par le virus ; en effet, étant donné que la mortalité est moins importante que celle de l’influenza pour ce groupe et que la maladie est légère parmi les enfants, on doit conclure que les risques des vaccins, comme celui de la myocardite ou les incidences de mort à cause d’embolies, sont plus importants pour ce groupe d’âge que les bénéfices. Vous autorisez les 14 ans et plus de consentir eux-mêmes, sans autorisation parentale, à se faire vacciner.Comment ces jeunes peuvent-ils prendre une décision informée, vu qu’il s’agit d’un vaccin expérimental ? Il paraît qu’une telle approche serait contre la loi – en effet, les mineurs n’ont même pas le droit d’accepter le vaccin, vu qu‘il est expérimental, sur base de l’Article 21 du Code Civil. Pourquoi le gouvernement ignore-t-il le droit des parents de décider par rapport au bien-être de leurs enfants ?

9) Le gouvernement continue de répandre de l’information erronée par rapport à la COVID-19. En avril, vous avez dit que les jeunes sont très affectés par la variante britannique du virus, ce qui n’est pas vrai. Vous avez encore dit en avril que les jeunes sont deux fois plus hospitalisés à cause de la COVID qu’en première vague – aussi une faussetée. Le site web du Ministère informe qu’il n’existe pas de traitement pour la COVID – une autre fausseté, vu les protocoles utilisés dans d’autres juridictions avec beaucoup de succès, même s’ils ne sont pas appliqués au Québec. Nous posons donc la question pourquoi le gouvernement n’est pas mieux informé sur la COVID et les faits liés, et pourquoi les déclarations inexactes ne sont pas corrigées. Le site du gouvernement et les annonces sur la radio nous promettent que la vaccination nous amène plus proche des rencontres familles, du sport en équipe etc. Comment ce bénéfice est-il promis si l’ASPC ne sait même pas si les vaccins réduisent les infections ?

Finalement, Québec Nouvelles souhaite savoir comment le gouvernement assurera que dans un futur proche, les mêmes erreurs ne se répéteront pas. Il faudra, à l’intérêt des Québécois et Québécoises, s’assurer que le confinement ne sera plus la première mesure prise et qu’il sera limité en géographie et en durée, s’il est même indiqué. Il faudra avoir une stratégie afin de pouvoir rapidement augmenter nos capacités de soins intensifs de manière temporaire. Aussi, on s’attend à une meilleure stratégie de recherche, laquelle misera sur le traitement avec les médications existantes, au lieu d’utiliser des vaccins expérimentaux. Pour quand est-ce qu’on peut s’attendre à une stratégie québécoise plus intelligente pour toute pandémie future ?

Dans l’attente de votre réponse,

L’équipe de Québec Nouvelles

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