Share on facebook
Share on twitter
Share on email
Share on reddit
Share on linkedin
  • partager
Share on facebook
Share on twitter
Share on email

Moins de budget pour les pandémies sous Trudeau, plus de budget pour les arts et l’activisme

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on reddit
Share on email

Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a coupé le financement de la prévention des pandémies au profit des arts, de la culture et du financement de groupes activistes anti-pétroles. 

En 2013-2014, la ministre de la santé conservatrice Rona Ambrose avait approuvé un budget de $73 millions pour les urgences de santé publique, notamment les pandémies. 

En 2014-15, avec l’arrivée du gouvernement libéral, le budget est passé à $61 millions pour finalement aboutir en 2020-21 à $51 millions, du jamais vu depuis 2012. 

Pourtant, en 2016 seulement, le gouvernement Trudeau a promis et ajouté $150 millions au financement de CBC/Radio-Canada chaque année jusqu’en 2021. 

En février 2020, on apprenait que le gouvernement Trudeau avait tenté de cacher une subvention de près de $200,000 à un organisme d’activisme environnemental, en plus d’un financement de $1.7 millions en fonds publics depuis 2017-19.

Ces chiffres ne concernent qu’un seul groupe d’activistes et le budget total des subventions du gouvernement Trudeau dépasse les centaines de millions.

Pourtant, les libéraux croyaient plus important de financer les artistes et activistes au dépens de création de réserve d’équipement médicaux en vue de pandémie.

Le résultat: le Canada se retrouve avec trop peu d’équipement médical et n’est pas préparé, alors que Radio-Canada continue ses activités normales avec un budget exorbitant, le tout aux dépens des canadiens et québécois.

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on reddit
Reddit
Share on email
Email

Les nouvelles à ne pas manquer cette semaine

  • Vous aimeriez aussi

Assistons-nous au grand retour des libéraux?

Il ne faut pas donner l’ours pour mort avant de l’avoir tué. Cet adage qui témoigne d’une sagesse populaire s’applique bien évidemment à la politique

  • Nouvelles semblables