Depuis le début de la pandémie, le gouvernement Legault obéit aux ordres de son clown en chef, le docteur Horacio Arruda. Au départ, ce dernier a imposé un confinement généralisé afin de protéger les plus vulnérables de la société. Ce fut un échec total et un énorme fiasco. Le Québec a sacrifié ses personnes âgées. Elles sont mortes par milliers dans les CHSLD. Donc, la stratégie d’Arruda fut un immense revers et Legault l’a récompensé en lui accordant un contrat de trois ans avec un salaire annuel dans les six chiffres.
Maintenant, le gouvernement Legault a décidé d’imposer le port du masque obligatoire dans les lieux publics fermés. Cette mesure drastique est entrée en vigueur le 18 juillet dernier. Or, au mois de mars, M. Arruda avait dit que le port du masque n’était pas efficace pour se protéger du virus chinois. Mais, en juillet, il a dit le contraire. Donc, cet homme est un menteur. Quelle est la bonne version, celle de mars ou de juillet ? Il faut constater que les Québécois continuent de faire confiance à Arruda malgré sa mystification.
La prochaine étape de ce gouvernement est d’imposer le port du masque aux enfants de 10 ans et plus dans les écoles. C’est incroyable. Ça va être beau de voir ces jeunes avec de maudits masques sur leurs visages. Tout le monde sait que la COVID-19 n’est pas dangereuse pour les enfants. Alors, laisser-les dont tranquille bordel.
Si vous pensez que le port du masque obligatoire est temporaire, vous avez tort. Arruda l’a dit lui-même. Il veut que cela devienne une norme sociale permanente.
En terminant, plus les jours passent, plus ce gouvernement nous enlève des libertés et personne ne réagit. Réveillez-vous bordel ! Quelle sera la prochaine mesure ? Imposer le port du masque à l’extérieur ?! En plus, le gouvernement Legault ne semble pas apprécier la dissidence. Voici une citation de la vice-première ministre Geneviève Guilbeault : « La responsabilité sociale de ne pas donner de visibilité à des mouvements qui pourraient être en contradiction avec le bienêtre collectif ». Est-ce que cela veut dire qu’on ne peut pas avoir une opinion contraire à celle du gouvernement ? Je pose la question à François Legault.