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Un environnementaliste réputé déplore le discours alarmiste ambiant

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Dans son nouveau livre, l’environnementaliste américain Michael Schellenberg, fondateur de l’association Environmental Progress et du think tank Breakthrough Institute, remets les pendules à l’heure.

Dans un texte d’opinion publié chez Forbes et faisant état de son nouveau livre, Schellenberg s’excuse au nom de tous les environnementalistes qui font usage d’un discours alarmiste.

« Voici quelques faits que peu de gens connaissent :

L’homme ne provoque pas une « sixième extinction de masse ».

L’Amazonie n’est pas « le poumon du monde ».

Le changement climatique n’aggrave pas les catastrophes naturelles

Les incendies ont diminué de 25% dans le monde depuis 2003

La superficie des terres que nous utilisons pour la viande – la plus grande utilisation des terres de l’humanité – a diminué d’une superficie presque aussi grande que l’Alaska

L’accumulation de bois de chauffage et l’augmentation du nombre de maisons situées à proximité des forêts, et non le changement climatique, expliquent pourquoi les incendies sont plus nombreux et plus dangereux en Australie et en Californie

La pollution atmosphérique et les émissions de carbone diminuent dans les pays riches depuis 50 ans

L’adaptation à la vie sous le niveau de la mer a fait des Pays-Bas un pays riche et non pauvre

Nous produisons 25 % de nourriture en plus de celle dont nous avons besoin et les excédents alimentaires continueront d’augmenter à mesure que le monde se réchauffera

La perte d’habitat et le massacre direct d’animaux sauvages sont des menaces plus importantes pour les espèces que le changement climatique

Le bois de chauffage est bien pire pour les hommes et la faune que les combustibles fossiles

La prévention de futures pandémies nécessite une agriculture plus et non moins « industrielle »

Schellenberg a même servi sur le comité du GIEC. Il déplore le discours alarmiste des environnementalistes à la Alexia Occasio-Cortez, comparable ici à Dominic Champagne et au discours de « Le Devoir », entre autres.

Ce dernier évoque des faits peu connus :

 Les usines et l’agriculture moderne sont les clés de la libération de l’homme et du progrès environnemental

La chose la plus importante pour sauver l’environnement est de produire plus de nourriture, en particulier de la viande, sur moins de terres

La chose la plus importante pour réduire la pollution de l’air et les émissions de carbone est de passer du bois au charbon, au pétrole, au gaz naturel et à l’uranium

Pour que l’énergie soit 100 % renouvelable, il faudrait faire passer la part des terres utilisées pour l’énergie de 0,5 % à 50 %.

Nous devrions vouloir que les villes, les fermes et les centrales électriques aient des densités de puissance plus élevées, et non plus faibles

Le végétarisme réduit les émissions de moins de 4 %.

Greenpeace n’a pas sauvé les baleines, le passage de l’huile de baleine au pétrole et à l’huile de palme l’a fait

Le bœuf « en liberté » nécessiterait 20 fois plus de terres et produirait 300 % d’émissions en plus

Le dogmatisme de Greenpeace a aggravé la fragmentation de la forêt amazonienne

L’approche colonialiste de la conservation des gorilles au Congo a produit un contrecoup qui pourrait avoir entraîné le massacre de 250 éléphants »

Pour vous procurer son livre : https://www.amazon.ca/gp/product/B07Y8FHFQ7?pf_rd_r=FHFETM7FTVCAQJX79D0J&pf_rd_p=05326fd5-c43e-4948-99b1-a65b129fdd73

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