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Une canadienne se fait interdire l’accès aux funérailles de sa mère en raison de la distanciation, alors que les manifestations sont tolérées

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Augustine, résidente de l’Île-du-Prince-Édouard, a perdu sa mère en mai, Linda, décédée d’un cancer des poumons. 

Sa mère résidait au Nouveau-Brunswick. Sa première requête de voyage entre les deux provinces demandée à la fin du mois de mars a été refusée. 

En raison des restrictions liées à COVID-19, la famille n’a pu ni réveil ni funérailles au moment de sa mort, le 26 mars.

Ils ont donc décidé de déplacer les funérailles au 5 juin. Augustine a contacté les fonctionnaires des divisions de la santé publique et de la sécurité publique du Nouveau-Brunswick pour confirmer qu’elle serait en mesure d’assister aux funérailles de sa mère.

Elle avait prévu une isolation de 14 jours lorsqu’elle serait de retour dans la province.

Mais au bout de quelques heures, Augustine a reçu un appel l’informant qu’elle était de nouveau interdite.

« Il faut qu’il y ait de la compassion », a-t-elle déclaré. « C’est ma mère et je ne sais pas comment le gouvernement peut simplement dire non, ce n’est pas essentiel. C’est essentiel. »

Pourtant, les gouvernements font exception lorsqu’il est question de milliers d’individus rassemblés pour une manifestation qui est née d’une cause américaine, et non canadienne. 

Il y a quelques semaines, les médias étaient en guerre ouverte contre quiconque ne prenait pas au sérieux la COVID. Maintenant, les médias, attirés par l’appât du gain, ont trouvé une nouvelle cause à chérir, et la COVID semble avoir disparue du débat public.

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