Share on facebook
Share on twitter
Share on email
Share on reddit
Share on linkedin
  • partager
Share on facebook
Share on twitter
Share on email

Une ministre libérale prise au micro en parlant de son salaire de 250 000 dollars

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on reddit
Share on email

Une ministre du cabinet libéral a été prise dans un micro chaud en train de parler de son salaire de 250 000 dollars lors d’une réunion lundi à la Chambre des communes.

Maryam Monsef, ministre libérale de la femme, de l’égalité des sexes et du développement économique rural, parle de son salaire lors d’un débat parlementaire sur les dépenses liées au coronavirus.

« La question qu’ils vont me poser… Combien je gagne maintenant ? Genre 250 ? » On peut entendre Monsef avant que la transmission ne soit coupée à la Chambre.

« Je veux rappeler aux honorables députés d’éteindre leurs micros quand ils ne votent pas », a déclaré le Président de la Chambre, Anthony Rota, immédiatement après.

Selon les chiffres disponibles, les membres de la Chambre des communes reçoivent une indemnité de session de base de 182 600 $, tandis que les ministres gagnent un salaire supplémentaire de 87 200 $.

En 2016, Candice Malcolm de True North a fait un rapport sur une enquête exclusive qui a révélé que Monsef faisait l’objet d’une enquête pour fraude possible à la citoyenneté après que des plaintes aient été déposées auprès du ministère de l’Immigration concernant le ministre.

On a découvert que Monsef avait fourni de fausses informations sur son lieu de naissance lorsqu’elle a demandé l’asile au Canada en 1996. Elle a d’abord prétendu être née en Afghanistan, mais il a ensuite été révélé qu’elle était en fait née en Iran.

Selon le bureau de Mme Monsef, elle était sous une fausse impression concernant son lieu de naissance et s’efforçait de rectifier la situation.

La loi canadienne sur l’immigration définit le fait de se présenter faussement, sciemment ou non, aux agents de l’immigration comme une fraude à l’immigration.

Près d’un an plus tard, en 2017, Monsef a été rétrogradée de son rôle de ministre des institutions démocratiques après avoir manqué à ses responsabilités à plusieurs reprises. Dans un cas, Mme Monsef a insulté ses collègues parlementaires pour leur travail au sein d’un comité de réforme électorale.

Un texte de tnc.news.

Share on facebook
Facebook
Share on twitter
Twitter
Share on linkedin
LinkedIn
Share on reddit
Reddit
Share on email
Email

Les nouvelles à ne pas manquer cette semaine

  • Vous aimeriez aussi

Assistons-nous au grand retour des libéraux?

Il ne faut pas donner l’ours pour mort avant de l’avoir tué. Cet adage qui témoigne d’une sagesse populaire s’applique bien évidemment à la politique

  • Nouvelles semblables