Il y a plus d’une année maintenant, nous étions les pieds dans le sable et la tête dans le bleu du golf du Mexique. Loin de moi l’idée de me placer parmi les privilégiés. C‘était nos vacances annuelles qui ont été durement gagnées. Nous rêvions déjà à l’an prochain avec des projets plein la tête. Puis, au retour de vacances, nous voilà plongé au cœur de cette pandémie mondiale, qui aujourd’hui ne veut pas se terminer. Il y a eu parmi le grand fléau des temps passés, avec l’hécatombe parmi les Amérindiens. 75% de la population a disparu à cause de la variole.
Dans les années 70, la tuberculose a tué plus de 1.2 millions de personnes. Plus tôt, en 541 jusqu’en 767, entre 25 et 100 millions de personnes meurent de la peste Julienne. La peste Bubonique fait plus de 10000 morts par jour à Constantinople. Donc, jusqu’à 40% de sa population et ceci par la faute des rongeurs et de leurs puces qui cherchent du sang frais pour survivre.
La peste noire a fait des millions de morts et les symptômes ressemblent à ceux de la COVID, enflamment des ganglions, nausée, diarrhée, maux de tête et fièvre. En 1648, c’est la fièvre jaune qui est mortelle avec 30000 morts par année et elle est due à la piqure d’insecte et encore aujourd’hui, c’est un vaccin qui nous en protège. De 1664 à 1665, c’est la peste de Londres qui a fait plus de 100000 morts, plus le choléra qui a lui seul fait plus de 100000 morts.
Le Québec a déjà connu la grippe espagnole. En 1918, le monde se préparait à perdre plus de 50 millions de personnes. La grippe Asiatique et la grippe de Hong Kong fait entre trois et quatre millions de morts et plus de 70 000 uniquement aux États Unis. Depuis 1970, plus de 36 millions de personnes sont mortes du Sida à travers le monde. Si vous ne me croyez pas, consultez comme moi Google, les 12 pires fléaux de santé, vous y apprendrez que la liberté n’est pas pour demain.
Nous pensons qu’un simple vaccin viendra nous redonner la liberté d’autrefois? Je ne le crois pas. La méfiance, les complots, les sous entendus, la confusion et les mensonges alimenteront encore l’esprit pour des années. Le masque deviendra une habitude, un mode de vie, une récurrence. Je ne suis pas négatif, mais je crois que la réalité d’autrefois n’est désormais qu’une illusion. Nous voyons bien que nos institutions politiques ne s’instruisent pas des histoires du passé et que la prévention, qu’ils doivent avoir comme un bon père de famille, passe par de fausses promesses, et des illusions politiques. L’homme a besoin de rêver et il est prêt à accepter toutes les promesses de miracle et il imagine ses propres mirages.
L’avenir de demain n’a rien à voir avec la réalité d’aujourd’hui. La Terre ne peut nourrir les sept milliards d’habitants qu’elle possède aujourd’hui et une régulation naturelle par les pandémies va réguler cette population hétéroclite aux multiples besoins. Le virus actuel est à ce point salutaire et la population vulnérable atteinte n’est en sorte qu’un passage obligé, n’en déplaise aux bien pensant. Le passé est-il garant de l’avenir? Allez voir ce que l’on dit sur la théorie de l’eugénisme et analysez notre situation mondiale actuelle et faites en votre propre conclusion.