Le ministre Jean Boulet est sous les feux de la rampe pour sa déclaration comme quoi 80% des immigrants a) vivent à Montréal b) ne travaillent pas c) ne parlent pas français d) n’adhèrent pas aux valeurs québécoises. La vérité coûte cher dans la wokerie généralisée !
Soyons sérieux. L’extrême majorité des immigrants sont à Montréal et les environs. Ils vivent dans la communauté dont ils partagent l’origine. C’est la réalité. Que bon nombre d’entre eux ne parlent pas français ou sinon n’en connaissent que des rudiments est aussi un fait. Parler français ne veut pas dire qu’ils sont prêt à le défendre. Souvent, on remarque que le français est utilisé pour manquer de respect aux Québécois dans leur langue. Pour ce qui est des valeurs québécoises… insulter la laïcité n’entre pas dans les valeurs Québécoises. Afficher sa religion en tout temps ne fait pas partie des valeurs, l’imposer à des enfants encore moins. Voter en bloc pour le PLQ est aussi contraire aux valeurs des Québécois qui ne veulent plus de ce parti.
Ainsi, il est tout à fait juste d’affirmer que 80% des immigrants font parti d’au moins une de ses quatre catégories. En fait, pour faire plus simple… quel est le pourcentage d’immigrants qui ne vivent pas à Montréal, travaillent, parlent français et adhèrent pleinement aux valeurs Québécoises ? 20% environ ? C’est bien ce qui semble exact.
Jean Boulet n’a rien fait de mal. Legault aurait du le défendre et renchérir. Les journalistes globalistes font des pieds et des mains pour noyer le peuple historique, il est temps d’en finir avec le politiquement correct et d’appeler un chat un chat !