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Le fils de Joe Biden est actionnaire d’une société chinoise de surveillance accusée par les États-Unis de violation des droits de l’homme

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Hunter Biden, le fils du candidat démocrate à la présidentielle américaine, Joe Biden, est actionnaire d’une société chinoise de surveillance. Cette dernière est visée par les États-Unis pour violation des droits de l’homme. Selon le Washington Free Beacon, la société est touchée par des allégations de répression des minorités musulmanes en Chine. 

Cette nouvelle soulève des questions sur les relations controversées d’affaires entre la famille Biden et la Chine et cela sème des doutes sur la capacité Joe Biden de se tenir debout face à la puissance chinoise s’il devient président des États-Unis. 

Le Free Beacon note « Bohai Harvest RST Shanghai Equity et la société d’investissement dans laquelle Hunter Biden détient une participation ont initialement investi dans Megvii, une société technologique chinoise sanctionnée qui se spécialise dans les logiciels de reconnaissance faciale, en 2017, selon le site web de la société. La firme détient près de 2 % des parts de Megvii par le biais de deux sociétés de portefeuille, selon un prospectus déposé par Megvii dans le cadre de sa demande d’introduction à la bourse de Hong Kong l’année dernière ».  

Il faut constater que les médias nationaux n’ont pas parlé de cette histoire troublante. Si un des fils de Donald Trump avait fait une chose semblable, cela aurait fait la une des médias aux États-Unis. Cependant, Joe Biden est démocrate, il est du bon bord. Alors, les journalistes gardent le silence.   

Ces révélations sont très graves. Si jamais, par miracle, le candidat démocrate devient président, comment pourra-t-il être ferme avec la Chine ? On peut se poser la question, étant donné les liens entre son fils et une société chinoise qui a été sanctionnée pour violation des droits de l’homme par le gouvernement américain. Poser la question c’est y répondre. Si Biden devient président, la Chine pourra continuer son ascension comme future première puissance mondiale. 

Jean-Patrick Grumberg, auteur du média alternatif Dreuz.info estime : « Hunter Biden détient une participation dans une société de surveillance chinoise qui fait l’objet de sanctions américaines pour violation des droits de l’homme, ce qu’il n’a pas du tout dérangé l’hypocrite Biden de promettre, durant la campagne, de sévir contre les entreprises américaines ayant des liens financiers avec des sociétés chinoises d’abus humanitaires ».  

Cette citation veut tout dire. Le candidat Biden est un hypocrite, car il parle les deux côtés de la bouche dans ce dossier. Il a fait la même chose concernant la fracturation hydraulique. 

Ce n’est pas seulement avec la Chine que Hunter Biden a des relations douteuses sur le plan éthique. Il ne faut pas oublier que ce dernier a des liens avec Burisma, une corporation énergétique qui est considérée comme corrompue. Au même moment où le vice-président Biden supervisait la politique gazière de l’Ukraine, Burisma a donné à son fils un poste dans son conseil d’administration. Hunter Biden a reçu un lucratif salaire mensuel de 80 000 $. 

Toujours selon M. Grumberg, « Hunter Biden a également fait l’objet de critiques, seulement des critiques, parce qu’il est le fils d’un démocrate, pour avoir été financé par la Banque de Chine, gérée par l’État, pour lancer une société d’investissement chinois, ce qu’aucune grande firme d’investissement au monde n’a jamais pu obtenir, et ce, bien entendu, juste après une visite de son père, alors vice-président, à Pékin ». 

Évidemment, les médias n’ont pas parlé de cela dans leur couverture médiatique, parce qu’ils sont trop occupés à déverser leur haine et leur « fake news » contre le président Trump. 

En terminant, toutes les activités discutables de Hunter Biden en Chine et en Ukraine laissent planer un énorme doute sur les capacités de Joe Biden de diriger et défendre les intérêts américains advenant une victoire improbable de sa part le 3 novembre prochain.

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