
Critiquer les médias au temps du coronavirus
Depuis le début de la crise du coronavirus, nous, les Québécois, avons la chance (oui la chance) d’avoir un premier ministre qui ne compte pas ses heures ni les efforts que cela demande de recevoir et d’assimiler rapidement un flot énorme d’informations, pour nous donner l’heure juste en toute transparence, avec la bonhommie qui le fait apprécier d’une vaste majorité d’entre nous, toutes couleurs politiques confondues.