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La haine et le mépris

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Dans le cheminement politique du président Trump, quels sont les éléments dominants qui le singularisent? La haine et le mépris dont il est abreuvé!

Les Zartistes bien nantis, les journalistes qui penchent «à gauche toute» et les politologues soit disant neutres sont des cracheurs de haine, peu importe les circonstances. Il n’est pas utile de les nommer, il vous suffit de lire le journal et de regarder la télé pour constater que la haine et le mépris envahissent une partie substantielle du cerveau des journalistes et des commentateurs. Ce qui, forcément, laisse moins de place au jugement et à la raison.

C’est pourtant bien connu que de mépriser et haïr un adversaire politique ruinent toute crédibilité et entrainent  des dérapages.

Par exemple proclamer que le président Trump est un parfait idiot, un demeuré, dépasse les bornes. Expliquez-moi comment un crétin peut réussir avec succès (alors qu’il n’appartient pas à l’establishment du parti) la course à obstacles pour l’investiture d’une durée d’un an et arriver premier au fil d’arrivée. Impossible! Donc, ce n’est pas un idiot.

A-t-il un égo surdimensionné? Son égo est assurément plus volumineux que le commun des mortels. Mais j’ajoute aussitôt que c’est le cas de tous les candidats qui se sont lancés dans une pareille course et bien évidemment de ceux qui sont devenus président de la plus grande puissance du monde.  

Croyez-vous sérieusement qu’Hussein Obama avait un minuscule égo? Que Kennedy, Clinton, Nixon en avaient tous des petits? Évidemment pas.  

L’une des lubies du professeur Martin (Journal de Québec) est de sonner l’alarme et de crier : « Attention! Danger! Le Président Tromp aspire au despotisme.» Comment un universitaire peut-il sérieusement évoquer un pareil cauchemar? Connaissant très bien la constitution des États-Unis, Comment peut-il présenter comme crédible une pareille entourloupette? Il sait très bien que c’est une manœuvre pour faire apparaitre le président Tromp comme un Roi Ubu américain. Pourquoi pas Hitler ou Staline «tant qu’a y être»!

Pour ce qui est de la pandémie, ce n’est pas très compliqué : le président Trump prend des décisions comme tous les chefs d’États à travers le monde. Et le jugement que tout bon gauchiste doit porter sur le travail du président est très simple : les décisions qu’il a prises ne sont pas les bonnes; et les décisions qu’il ne prend pas sont les bonnes. CQFD! A-t’il prit de bonnes décisions? Peut-être! Mais en fait, soyez assurés que  les bonnes décisions sont prises par des Gouverneurs …démocrates!

Chaque jour qui passe, cet homme est détesté et dénigré sans répit et il demeure imperturbable et toujours d’attaque. Il est comme Rocky, il encaisse les coups et ne va pas au plancher.

Je sais bien que pour les gauchistes, les intélos, les médias, les chroniqueurs  et les stars du cinéma qui sont toujours en pamoison devant Hussein Obama qui vient tout juste de violer une règle, respectée par tout les anciens présidents, qui consiste à demeurer discret à l’égard du président en exercice. Il a donné son appui à Joe Biden, ce qui est normal, mais il a aussi attaqué Trump d’une façon pour le moins disgracieuse. Lui, dont les deux mandats ne sont guère éblouissants, aurait du faire profil bas.

Il est vrai qu’en huit ans, il a amélioré sa performance au golf et qu’il a fait de beaux discours dont celui du Caire ou il a fait des mamours à l’islam radical, mais quelles sont ses grandes réussites? Ah!  Oui! Il a obtenu le prix Nobel alors qu’il n’avait pas encore défait ses valises à la Maison Blanche. C’est quand même un exploit!

Objectivement parlant, le bilan du premier mandat de Trump est nettement plus présentable :

Il a réduit en miettes l’Accord de Paris sur le réchauffement climatique. Les écolos ont hurlé et grincé des dents. Mais c’est une excellente décision.

Il a mis au rancart le traité sur le nucléaire iranien. Dans ce dossier majeur  Obama s’est fait rouler dans la farine. Imaginez, le traité interdisait les inspections dans les zones militaires. En plus, il a versé des milliards de dollars aux ayatollahs. Quel beau programme!

Il a installé l’ambassade des USA à Jérusalem, une vieille promesse du Sénat jamais réalisée.

il a dégraissé le monstre réglementaire.

Il a soutenu la production des énergies fossiles et les USA sont désormais autosuffisants.

Il a réformé la fiscalité des entreprises et de la classe moyenne.

Le taux de chômage est à son plus bas depuis des décennies. Malheureusement, la pandémie a tout bousillé.

Il a réduit de façon substantielle l’immigration illégale.

On pourrait continuer,  mais c’est suffisant pour constater que pour un «demeuré débile», c’est une performance très convenable.

Mais je sais bien que ces faits incontestables n’auront aucun effet au sein de la caste des scribes patentés, des zartistes donneurs de leçons et des intellos maîtres penseurs. Tout ce beau monde va continuer d’encenser le parti démocrate gangrené par un gauchisme pestilentiel et constitué d’un mélange de socialisme délirant, d’un écologisme décroché du réel et d’un antisémitisme nauséabond  tout en faisant semblant que Sanders est un  inoffensif social-démocrate  et Joe Biden un candidat d’envergure et irréprochable.

Il faut oublier que le candidat démocrate traîne des relents de corruption, qu’il fait face à une poursuite pour agression sexuelle et qu’il a manifestement des défaillances de mémoire.

Curieusement, les chroniqueurs ne jettent jamais un coup d’œil du côté du marécage pestilentiel du Parti démocrate.  Trump est la seule et unique cible.

J’ai bien hâte de voir les débats Trump-Biden …mais peut-être aussi qu’il n’y en aura pas! Car Biden se faisant démolir, ce serait catastrophique pour le gauchisme américain.

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