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Opinion | 2e débat présidentiel : Trump en contrôle, Biden désorienté et confus

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Après le spectacle chaotique et étourdissant qui caractérisait le premier débat présidentiel, il était agréable que de constater que le deuxième débat n’aura pas été un éternel retour du même. Tout au contraire, en ce 22 octobre, nous avons eu affaire à un débat beaucoup plus civilisé et procédural, sans pour autant réduire la nette polarisation entre les deux camps en affrontement. En effet, les terrains d’ententes sont choses rare entre les candidats à la Présidence, incarnant deux visions radicalement différentes et résolument irréconciliables.

Tout D’abord, il faut bien noter que Donald Trump n’a pas pris une once de repos depuis sa sortie de l’hopital Walter Reed. Soirs après soirs, il se présente face à des milliers et des milliers de patriotes, avec une énergie et une vigueur digne d’un surhomme, afin de galvaniser ses troupes et de sécuriser les États pivots. De plus, il a durci sa ligne à l’endroit de la famille Biden, désormais considérée comme une organisation criminelle depuis les graves révélations du New York Post. Le fils Hunter Biden, toxicomane déchu et sans expérience de travail, recevait des sommes faramineuses de la part de l’Ukraine, la Chine et la Russie, le tout lorsque Joe Biden était au poste de Vice-présidence avec Barack Obama.

De plus, il faut bien rappeler que Joe Biden est en politique depuis plus de 47 longues années. Durant cette interminable carrière de politicien typique, il n’a réalisé aucun accomplissement significatif, si ce n’est une loi en 1994, le Crime bill, dont la répression a durement heurté la communauté afro-américaine. Au contraire, Donald Trump est un candidat atypique qui s’attaque frontalement au système, c’est à dire l’establishment. En moins de quatre ans, il a réalisé l’économie la plus performante de l’histoire des États-Unis, tout en érigeant l’armée la plus puissante au monde. Conséquemment, Donald Trump a tout à fait raison lorsqu’il affirme que Joe Biden est un grand parleur mais qu’il n’agit pas. Ses huit années sous l’égide d’Obama riment avec le lègue d’un vide en terme de réalisations significatives. À cet effet, Trump n’hésite pas à le narguer.

Non seulement Biden est un grand parleur, mais de plus, le débat d’hier a clairement démontré qu’il est un homme idéaliste qui ne comprend rien à la réalité politique. Les États-Unis d’Amérique sont la première puissance mondiale ; l’affaiblissement de la nation n’est pas une option envisageable. Pourtant, au nom d’idéaux flous et naïfs, Biden serait assurément un vecteur de déclin et de décroissance. En économie, il préconise l’abolition des énergies fossiles, une surcharge de régulations et l’implantation d’énergies vertes ineffectives. En immigration, il défend le Catch and release, une pratique ridicule où les criminels sont relâchés en toute liberté, en attente de leur procès. Également, il compte affaiblir les frontières et donner la citoyenneté à des illégaux. Toutes ces mesures iront à l’encontre de la sécurité intérieure et de la puissance brute du pays. Lorsque Trump ferme les frontières à la Chine communiste et les pays djihadistes, Joe Biden l’accuse de « xénophobie », un classique de la rectitude politique.

Biden est un politicien de carrière moribond, qui n’a rien accompli de notable en 47 ans, et qui trimbale des manœuvres de collusions, en complicité avec les membres de sa famille, notamment le fameux Hunter (où est Hunter?). Ses idéaux candides sont irréalistes mais aussi vecteurs d’affaiblissements. Ses balbutiements incessants et ses confusions sont signe d’une décrépitude et d’un manque d’énergie. Au contraire, Donald Trump apparait comme un survivant que rien ne peut abattre, y compris le virus mais aussi les GAFAM, les médias et l’establishment. Malgré ses débordements et son tempérament mégalomane, il n’en demeure pas moins que sous sa gouverne, l’économie nationale atteint des sommets inouïs et les forces militaires sont plus fortes que jamais, le tout sans verser de sang américain dans le sable. La thèse du déclin américain prend une toute nouvelle forme, avec une civilisation qui renait et aspire à la perpétuation de sa grandeur.

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