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Ultimatum bloquiste : Morneau, Trudeau et Telford doivent impérativement quitter le gouvernement

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Dans la foulée des incessantes révélations du scandale UNIS, où l’on découvre un dense réseau de corruption relié à Justin Trudeau et son parti, le Bloc québécois a pris acte de cette insoutenable situation et compte déployer les moyens requis. Sachant la trahison manifeste des libéraux à l’endroit de la fonction publique et du Peuple canadien, alors une voie nécessaire s’impose afin de remettre le balancier en place : il faut déclencher un ultimatum, et soumettre les libéraux à un vote de confiance. Il s’agit d’une impulsion parlementaire qui, si elle arrive à bon port, aura comme conséquence de renverser le gouvernement.

Il ne s’agit pas de prendre position pour le Bloc Québécois, mais bien d’œuvrer afin de définitivement mettre un terme au règne désastreux de Justin Trudeau. Il s’agit fondamentalement d’un devoir national, ce qui implique une disposition qui transcende la partisannerie. Sans équivoque, les libéraux ont délibérément transgressé les limites éthiques en place, et ce bien plus d’une fois. Il s’agit d’un gouvernement profondément corrompu, souillant les institutions primordiales de notre patrie. Emprunt d’un mépris pour la classe populaire et les règles nationales en place, l’heure est désormais au renversement, et ce à partir d’un mécanisme démocratique en place.

Cependant, le Bloc québécois, à lui seul, ne pourra parvenir à renverser le gouvernement. C’est pourquoi, le Parti conservateur, en l’attente de son prochain chef, doit s’abstraire des rivalités partisanes et collaborer afin de renverser le gouvernement en place. Il s’agit d’un impératif vital, qui nécessite une coalition considérable afin d’obtenir une volonté suffisante pour opérer le renversement. Il est donc essentiel que de développer une cohésion temporaire, dans l’intention et la finalité de mettre un terme ultime à la corruption de Justin Trudeau. Il faut développer une force d’impact suffisante afin d’obtenir l’effet escompté, ce qui occasionnera la chute des libéraux.

Sachant que les Conservateurs ont une chance substantielle de prendre le pouvoir aux prochaines élections, alors il est dans leur intérêt que de supporter la démarche du Bloc québécois et de procéder à un vote de confiance. Il ne s’agit pas d’appuyer une démarche de sécession du Québec, mais de couper la tête d’un système de corruption qui gangrène notre sphère parlementaire. Cependant, un obstacle persiste dans cette présente démarche ; il s’agit du parti socialiste NPD, qui risque de prendre appui des libéraux et s’opposer à cette volonté de renversement. Leur intention d’implanter un salaire minimum universel les pousse à fermer les yeux sur toute la corruption moribonde du parti libéral. Il faudra donc leur forcer la main, quitte à les rendre complice du système de corruption.

En conclusion, il est dans l’intérêt national que d’appuyer le Bloc québécois afin de déclencher un ultimatum, ce qui se traduit concrètement par un vote de confiance. Afin d’obtenir l’effectivité escompté, il faudra l’appui des Conservateurs, idéalement soudé à partir d’un leadeurship robuste. Pour ce qui est du NPD, ils seront contraints à prendre clairement position entre une noble volonté de redressement national ou la collaboration honteuse à un régime corrompu. Cette impulsion parlementaire représente une voie démocratique afin de renverser le gouvernement déchu de Justin Trudeau, désormais sans aucune légitimité afin de tenir les rênes du pays. Notre devoir actuel consiste donc à remettre de l’ordre au sein de nos institutions parlementaires, souillées par la démesure et la trahison.

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