Il était une fois un clown qui, miraculeusement, aura réussi à se hisser jusqu’au sommet de l’appareil gouvernemental du pays, tout en étant sur le fond un pur idiot. Balbutiant dans un français incompréhensible, incapable de comprendre la réalité sommaire, force est de constater qu’il occupe un trône bien trop grand pour lui. Le clown ne doit le mérite de sa réussite politique qu’à un seul facteur ; le sang. Si ce n’était de Pierre-Elliot Trudeau, alias « just watch me », le clown serait resté dans sa zone de confort, c’est à dire les pitreries. Qu’un tel homme gouverne un pays demeure une énigme insurmontable.
Avec le clown au pouvoir, sans surprise, la marijuana est désormais légale, tout en étant régulée par l’État. Vous avez bien lu : l’autorité publique du Canada vend de l’herbe récréative à tous les citoyens soucieux de se griller un pétard. Il est ainsi, le Canada de Justin Trudeau. Un festival à temps plein, où il n’y a que du plaisir et de bonnes sensations. Le fait de se bruler les cellules afin d’avoir une expérience ludique n’est pas seulement toléré, il est encensé et approvisionné par le gouvernement national. Le clown est prêt à tout pour quémander des votes, quitte à droguer sa population et l’affaiblir.
La pandémie occasionne une étape absolument charnière pour le clown. Cette fois-ci, le délire atteint un niveau purement inégalé. Après avoir légalisé la marijuana, il distribue désormais des chèques de façon absolument abondante, même pour les citoyens qui n’en ont aucunement besoin. Les coffres de l’État sont grand ouverts, le déficit se rapproche de l’infini ; bref, le clown est en extase, il produit des montagnes de chèques qui pousseront et finiront par devenir des votes. Le clown fertilise sa prochaine élection en soufflant des chèques à tout va. La marijuana et le chèque ; voilà la recette afin d’acheter la prochaine élection fédérale. Le clown incorpore les éléments dans son chaudron et active le mode cuisson, se préparant à recueillir des électeurs totalement dociles et enjoués.
Il est vrai que certains citoyens souffrent des conséquences de la pandémie et nécessitent un support financier. Il faut compatir avec ces derniers. Cependant, le clown ne s’intéresse pas spécifiquement à ce contexte sensible ; il souhaite donner le plus de chèques possibles, toujours plus, même aux étudiants nantis, aux travailleurs qui désertent et aux compagnies en pleine vitalité. De cette façon, au cœur de la pandémie, l’utopie du clown prend forme ; un univers idyllique où il est possible de ne pas travailler, récolter un chèque généreux, consommer de la marijuana publique et se procurer du plaisir. Chèque, fumée et plaisir ; tel est le crédo du clown.
En tant que citoyen responsable, il va sans dire qu’un tel Canada est totalement inadmissible. En cherchant à acheter des votes afin de préparer la prochaine élection, le clown fertilise du même coup des valeurs telles que la paresse, la léthargie, la loi du moindre effort et la petitesse. Ce n’est évidemment pas de cette façon que nous formons des citoyens audacieux, critiques et braves. Il faut mettre fin au satané délire du clown ; sa place est dans un cirque, pas à la tête d’un pays. Un changement de leadership s’impose, afin de remettre de l’ordre.